Lampadaire

Un peu de mobilier urbain... un jour où je m'ennuyais en attendant mon rendez-vous chez le dentiste...



P.S. : l'oiseau s'est invité à la prise de vue, il n'a pas été rajouté ultérieurement...

j'aime beaucoup, et ceci grâce à l'oiseau
dommage qu'il soit si proche du lampadaire

Comme Maymé ... ne me demande pas pourquoi mais j'aime.

Lyly a écrit:Comme Maymé ... ne me demande pas pourquoi mais j'aime.

Mince... moi qui comptait sur toi pour comprendre par quel mystère c'était possible...

Comment dire ....
Dans ce cas précis, ma compréhension globale de l'image, obtenue par " fusion " des détails, fait référence à la cognition perceptuelle; ce qui ne peut conduire à une critique intellectualiste.
Il s'agit d'une conduite esthétique dirigée vers un objet réfèrent (ton image). C'est une forme de relation cognitive procurant une satisfaction par l'investissement d'un objet et basée sur l'apparence perceptuelle, l'imagination et l'entendement... une idiosyncrasie incommunicable.
D'un point de vue psychanalytique, il s'opère un processus de sublimation afin d'atteindre un état de plaisir par le biais d'un objet non sexué.

oui, comme Lyly

lyly a écrit:... d'atteindre un état de plaisir par le biais d'un objet non sexué.

pepsi a écrit:oui, comme Lyly

........ ah

humour

Le copier-coller rabaisse l'âme de l'auteur...

Euh, ... comme jp...
Mais bien le lampadaire, très bien...

plates excuses à tous pour ce copier coller qui n'a fait rire que moi .

pour le commentaire, je pensais en avoir déjà fait un.j'aime bien le traitement, le cadrage, et la simplicité de cette photo. un petit côté sombre sans lequel elle aurait beaucoup moins d'impact

Lyly a écrit:Comment dire ....
Dans ce cas précis, ma compréhension globale de l'image, obtenue par " fusion " des détails, fait référence à la cognition perceptuelle; ce qui ne peut conduire à une critique intellectualiste.
Il s'agit d'une conduite esthétique dirigée vers un objet réfèrent (ton image). C'est une forme de relation cognitive procurant une satisfaction par l'investissement d'un objet et basée sur l'apparence perceptuelle, l'imagination et l'entendement... une idiosyncrasie incommunicable.
D'un point de vue psychanalytique, il s'opère un processus de sublimation afin d'atteindre un état de plaisir par le biais d'un objet non sexué.

Certes... mais la linea serpentinata de ce cliché amène une chimérique mais fugace vision dont les sens, trompeurs comme nous l'a si bien montré Platon dans le Mythe de la caverne, ressortent transcendés.

Leibniz a bien expliqué qu'il existait en gros deux types de perceptions : les non réfléchies qui confèrent à celle de la première vision de cette sublimation graphique de notre monde que représente ce référent éclairant non seulement la place de la ville, mais également notre fors intérieur... mais cela sans y faire attention, en "conscience spontanée" sans plus. Puis surgit enfin l'aperception - dont le cheminement neuronal varie selon le peuplement en synapses de l'être regardant cette sublimation pixélisée d'un quelconque mobilier urbain. Or, c'est cette conscience d'avoir conscience de quelque chose qui est déjà bon signe en soit.

L'inconscient ne faisant plus barrière les émotions débordent et amènent, ipso facto, mais d'un point de vue paradigmatique, un orgasme visuelle dont les conséquences psychiques et physiologiques peuvent être parfois notablement visibles. L'orgasme buccal - lié notamment à la dégustation d'un sublime dessert - est semble-t-il du même ordre de processus interne.

Donc la jouissance n'est certes point sexuée devant ce lampadaire - symbole phallique ? -, mais néanmoins le bien-être qui découle de sa contemplation peut amener l'être pensant à une modification de son état physiologique, et, par la même son état émotionnel dictera impulsivement un jugement d'autant plus vrai qu'il est libéré de ses barrières et retenues freudiennes.

Lyly a écrit:Comme Maymé ... ne me demande pas pourquoi mais j'aime.

Je t'avais prévenu ...
Désolée que ton post soit parti en couille. Mes réfèrences de philo n'ont fait rire que moi et Pepsi. Merci à toi d'avoir eu de l'humour.

Lyly a écrit:

Lyly a écrit:Comme Maymé ... ne me demande pas pourquoi mais j'aime.

Je t'avais prévenu ...
Désolée que ton post soit parti en couille. Mes réfèrences de philo n'ont fait rire que moi et Pepsi. Merci à toi d'avoir eu de l'humour.

Pas de problème pour le dérapage du post, sur l'autre forum sur lequel je sévis c'est autrement plus dérapant qu'ici dans l'humour et je ne suis pas le dernier à lancer les choses - demande à PJ... En ces lieux je suis super sérieux !

Pour le reste, tes références philosophiques m'ont fait rire aussi... donc on sera au moins trois à en avoir profité !

juste que le net parfois ne véhicule pas l'image de nos têtes en postant les réponses...

pepsi a écrit:plus je pense, juste que le net parfois ne véhicule pas l'image de nos têtes en postant les réponses...

Oui, c'est bien dommage !

La tof est sympa et les diverses réponses m'ont bien fait rire

Biem a écrit:La tof est sympa et les diverses réponses m'ont bien fait rire

Que du bonheur quoi !

Il en faut si peu

Biem a écrit:Il en faut si peu

... quand c'est de qualité !

Alors moi on me fusionne mes messages, mais ailleurs, ça y va à donf le flood

oulalala ça disserte à balle par ici, moi j'aime! c'est tout!

gwich'in a écrit:oulalala ça disserte à balle par ici, moi j'aime! c'est tout!

... et c'est l'essentiel !

Merci...

J'aime plutôt bien la tof qui est bien traitée, maintenant peut-être en essayant de replacer l'oiseau ailleurs dans le ciel?

ben de mon coté plus prosaïquement cette photo me plait car elle est simple bien composé et que le nuage est parfaitement calé pour mettre en relief (lumière) le sujet principal